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Publié le par Cedef

Héroïne chic: Autrefois antonymes, ce mot-choc suivit d’un adjectif superficiel  forment à présent un duo incontournable. Etre chic ne signifie pas avoir du style ou posséder une personnalité charismatique. Etre chic ne requiert pas, mis à part le bon goût, de posséder des compétences psychologiques importantes (ce qui semble être le point commun le plus apparent de nos deux termes). La beauté physique est superflue car quiconque porte un ensemble signé Marc Jacob sera chic.

Il est très aisé de reconnaître un junkie dans la rue. Les ‘’crack whores’’ ne sont pas forcément bien vêtues ou encore sexy.  La première image qui me vient en tête est un accoutrement très 1990, bas blancs, espadrilles sales à la ‘’sporty-spice’’, maquillage criard et cheveux grichoux recouverts d’une casquette.  Jeans claires ou pantalons de toile de marque Adidas à la cheville.  ‘’Coat’’ en cuirette couleur pastelle, polar ou encore fringues mal influencées du mouvement punk.

Bref, ce n’est pas joli, mais les plus grands designers nous prouvent qu'on peut retirer la beauté du laid. 

 

 En introduction, voici la face cachée de l’héroïne, la moins glamour, celle que l’on veut cacher du reste de la société, la race parasite  que l’on barricade dans des ‘hôtels’ à junkies afin de l’ignorer plus facilement.  

Plus loin, d'autres images dépeingnent l'art de la dope ainsi que des clichés dits ''héroïne chics''.

Et finalement, ce que l'on côtoie tous les jours, nous, qui vivons à l'extérieur des podiums Calvin Klein (ou ce qui reste du mouvement).

J'aimerais rappeler que le but ici n'est pas de choquer les lecteurs - il y a des images 100 fois pires sur des galleries 'gore' - mais de présenter le lien, aussi petit soit-il, entre le junkie business et l'attitude dérivée...Ou peut-être de vous faire effleurer la sensation de la chasse aux dragons.

Bon trip!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans heroinechic

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